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Tu parles comme tu cries,
T’as ton regard aigri,
Tu crois allumer tout le monde, shab t'es une chaude de la té-ci,
Quand je cite, reste assise ou je te mettrai une fiche,
T’as pas les couilles, fermes la ou il faudra que je t’affiche.
T’as que 20 ans et pourtant tu te crois si grande,
Tu veux téma de haut, tu te sens puissante,
T’as pas le temps de blaguer, c’est pas ton genre,
Tu préfères surveiller la vie des gens.
T’as 2 inséparables, Closer / Public,
Ça ragote, ça papote, ça parle de fric,
T’as une bouille de tampax, en cas de fuite,
T’as ce qu’il faut, là où il faut, tu connais la suite.
Tu sors jamais sans ton sac ni ton M(alboro)-light,
Tes bottes noirs, ton haut noir, tu kiffe le black,
Tu rêves d’être à la côte de la fac,
Ou d’être un jour la reine de la night ...
Refrain :
Assume comme t’assures, en être capable, pas sûr,
Evite d’ouvrir ta grande gueule, limites toi au salut,
Eloigne toi si tu le fais, un bon conseil, t’as vu,
Reste tranquille quand tu parles, choisis tes mots ou je t’allume ...
Tu parles, tu racontes la vie des autres,
Tu t’ennuies, tu te sens seule, ce n’est pas de ta faute,
T’as un mec et pourtant il est si loin,
Heureusement pour ta gueule qu’il est pas dans le coin.
T’es une femme, t’as grandi, tu fumes, tu tises,
Et pourtant d’après toi : "Tu ne fais pas de bêtises",
T’es côté, tout le monde t’aime, tu fais la bise,
Et pourtant derrière ça, il n’y a que du vice.
Quand je veux dire ton prénom, le beat s’arrête,
Lui-même, seul a compris que tu n’étais pas prête,
D’assumer ce que tu étais d’après cette lettre,
Si c’était le cas, sincèrement se serait la fête ...
Refrain :
Assume comme t’assures, en être capable, pas sûr,
Evite d’ouvrir ta grande gueule, limites toi au salut,
Eloigne toi si tu le fais, un bon conseil, t’as vu,
Reste tranquille quand tu parles, choisis tes mots ou je t’allume.
T’as de la tchatche, c’est tant mieux, j’en ai aussi,
Quand tu tailles une personne, il faut de la répartie,
A toi de voir ce que tu veux, pour ton avenir,
Choisis bien ton destin, vivre ou mourir ...
T’as du sûrement te reconnaître, dans ces couplets,
T’as du voir que c’étais de toi que ça parlais,
Je n’arrêterai pas de parler de toi en si bon chemin,
Tant que tout est écrit dans le refrain.
Tu prétends être une meuf au cœur de pierre,
Tu prétends ne rien craindre, pas même l’Enfer,
Tout ce que je sais, c’est que le jour où je t’ai taillé,
T’en a eu des frissons, tu bé bégayais.
T’as du mal digérer cette lourde défaite,
Comme tu dis maintenant, tu peux te la mettre,
J’en ai encore à redire, tu sais que j’assure,
Et la prochaine, pour ton bien, si tu parles assume ...