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Quand on dira du siècleQu'il est vaincu, qu'il est déchu, qu'on a gagnéQuand sur les ailes d'un aigleNous sortirons de ces zones de barbelésAlors, sous l'égide d'un homme lointainDemain nous prendrons le cheminDemain d'un nouveau jourNous partirons demainNous marcherons demainOn déliera nos mainsEt nous serons enfinPlus libres d'aimerQuand l'espérance reineSe lèvera pour apaiser l'humanitéQuand les prisons anciennesNe seront plus que des échardes oubliéesAlors dans mon corps de nos jeunes annéesDemain nous vivrons pour aimerSans fin un nouveau jourNous partirons demainNous marcherons demainOn déliera nos mainsEt nous serons enfinLibres d'aimer demainNous partirons demainOn déliera nos mainsEt nous serons enfinPlus libres d'aimerAlors dans l'écho du tout premierDemain, nous suivrons le cheminSans fin d'un nouveau jourNous partirons demainNous marcherons demainOn déliera nos mainsEt nous serons enfinLibres d'aimer demainNous partirons demainOn déliera nos mainsEt nous serons enfinPlus libres d'aimer