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J'ne suis pas vraiment sûre de vouloir écrire
Pas vraiment sûre de vouloir rester.
Lasse, à compter mes désirs
Sur la terrasse blanche d’un café.
Avec le temps on ne peut que grandir
On finira par s’améliorer.
Mais si, le pire reste à venir
Sous les cris : un silence bien rangé.
Ou c’est toi qui pars
Ou bien c’est moi.
De notre regard
Nereste que ma foi.
Ou c’est toi qui pars
Ou bien c’est moi.
De notre histoire
Ne restent que les coups bas.
Le monde tourne, tourne et cours encore
Les oiseaux se sont envolés.
Lasse, on m’a jeté un sort,
A trop vouloir me noyer.
Et ton corps repart s'efface
Tes yeux ne savent plus briller,
Comme un tonnerre de phrases qui fracassent,
Mon amour, mon cœur dévoué.
Ou c’est toi qui pars
Ou bien c’est moi,
Ou bien c’est moi qui pars.
De notre regard
Ne reste que ma foi.
Ou c’est toi qui pars
Ou bien c’est moi.
Ou bien c'est moi qui pars, c'est moi...
De notre histoire
Ne restent que les coups bas, les coups bas...
La rose rouge meurt en pleine France,
Et les chiens se mettent à pleurer.
De mes doutes, devant toi qui dansent
Tu ne sembles pas intimidé.
Belles, les phrases d’éternité. !
Les drôles promesses de naguère.
Trop tristes, nos vœux égarés,
Nos souhaits encore et toujours solitaires.
Solitaires.
Ou c’est toi qui pars
Ou bien c’est moi,
Ou bien c’est moi qui pars, c’est moi...
De notre histoire
Ne restent que les coups bas.
Ou c’est toi qui pars
Ou bien c’est moi.
Ou bien c’est moi qui pars.
De notre regard
Ne reste que ma foi.