Оригинален текст
Le soleil couche ses rayons sur le corps d'une ville
Il apaise les raisons et pour demain prépare ses petites folies
Je sais que le monde n'est pas une machine
Je sais qu'il gronde, qu'il saigne et fulmine
Mais je n'y peux rien j'aime tant la vie que chaque jour elle recommence
Je n'ai cherché qu'une voix pour adoucir les violences
Je n'ai chanté que des vérités d'amour
Je n'ai menti que pour tracer des routes de velours
C'est une chance que de vivre de mots
Une éternelle enfance à naviguer dans le beau
Ondulant dans l'ondée musicale
C'est une aubade dans laquelle je me trimbale
Je n'y peux rien j'aime tant la vie que chaque jour elle recommence
Je n'ai cherché qu'une voix pour adoucir les violences
Je n'ai chanté que des vérités d'amour
Je n'ai menti que pour tracer des routes de velours
C'est un voyage dans un espace nouveau
C'est une page qui se lit de bas en haut
Une tour de Babel de rive cruelle
Déroulant les coeurs en ribambelle
Je n'y peux rien j'aime tant la vie que chaque jour elle recommence
Je n'ai cherché qu'une voix pour adoucir les violences
Je n'ai chanté que des vérités d'amour
Je n'ai menti que pour tracer des routes de velours