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Toute la mort se lève
Tous les murs se glacent
Bien dans le souvenir du monde
Tous ce que l'on peut entendre
Là haut le silence frappe
Toutes les larmes étaient longues
Si l'humeur t'entraine
J'irais de suivre la trace
Mais tu le sais déjà
Que notre partie du sort est celle d'un masque
Personne va ou tu vas
Que les bruits se taisent
Et que les heures se fassent
A ce cri qui te berce
A ce cri qui s'échappe
Que l'avenir te berce il n'y aura plus d'espace
Qu'as tu dis a la vie
Pour qu'elle s'efface
Dis toi bien qu'on est deux
A refuser le printemps
Et les rêves ambitieux
Mais on est bien vivants
Dis toi bien que pour eux
Nous voir aimer trop souvent
Ca nous rend ambitieux
Mais on est bien vivants
Suis-je l'homme-chien, ou bien l'inverse ?
Souviens toi de l'ombre que le fruit de rien
Mais le sang d'un rêve
Toutes les larmes sont des songes
Je suis l'exil et tu me vois sans peine
Tu es bien plus féconde
Jusqu'a ce que tout s'éclaire
Et que tu replonges
Veux-tu vivre à l'envers ?
Que les bruits se taisent
Et que les heures se fassent
A ce cri qui te berce
A ce cri qui s'échappe
Que l'avenir te berce il n'y aura plus d'espace
Qu'as tu dis a la vie ?
Pour qu'elle s'efface
Dis toi bien qu'on est deux
A refuser le printemps
Et les rêves ambitieux
Mais on est bien vivants
Dis toi bien que pour eux
Nous voir aimer trop souvent
Ca nous rend ambitieux
Mais on est bien vivants