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(Refrain)
je vous ai laissé mon amour en guise de testament,
je vous observe en haut du paradis des émigrants,
j'ai lutté pour mon honneur et les miens,
n'oubliez jamais qui vous êtes et d'ou l'on vient.
je vous ai laissé mon amour en guise de testament,
je vous observe en haut du paradis des émigrants,
j'ai lutté pour mon honneur et les miens,
n'oubliez jamais qui vous êtes et d'ou l'on vient.
j'ai passé ma vie à essayer de vous protéger,
vous élever et vous éduquer pour mieux vous intégrer,
ici sans probléme mes enfants vos parents vous aiment je vous écris
nos sentiments
jaurais voulu faire plus que tout ce peu que j'ai fait pour vous en
une vie j'en ai bavé mes premiers jour ici, je me rappele comme si
c'était hier notre arrivée ici demandez donc à votre mére,
des malles et des valises en carton, des sacs en paille nous servait
de polochon mon garcon,
on n'était des milliers venus des quatre coins du monde, et puis les
pieds dans la merde on a commencé nos nouvelles vies!
refrain (X2)
je vous ai laissé mon amour en guise de testament,
je vous observe en haut du paradis des émigrants,
j'ai lutté pour mon honneur et les miens,
n'oubliez jamais qui vous êtes et d'ou l'on vient.
a l'époque comme boulot on prenait ce qu'il y avait et pour se
réchauffer le soir dans nos baraques en chantant sous la pluie et
quand la nostalgie nous assaillait on n'allait dans un coin verser
les larmes qu'on ne voulait pas montrer au sien c'était hier, on
croyais naïvemment a l'avenir de nos familles sur cette terre pas aux
luttes de classe sociale aux voitures qui brûlent et aux tirs de
balle,
certains de nos jeunes sont perdus les vieux ont fait ce qu'il sont
pu, mais enfants avant de nous quitter faites nous honneur et
noubliez jamais qui vous êtes et qui nous sommes surtout n'oubliez
jamais que vos péres sont de grands hommes.
refrain (X2)
je vous ai laissé mon amour en guise de testament,
je vous observe en haut du paradis des émigrants,
j'ai lutté pour mon honneur et les miens,
n'oubliez jamais qui vous êtes et d'ou l'on vient.
auprés de Dieu, aujourd'hui je pars et je vous en prie ne déchirez
pas les pages de notre histoire,
mon seul péché si c'en ai un fut de me resourcer en été auprés des
anciens et des amis du pays que j'avais laissé mes enfants sans mes
traces dans leur coeur mon amour et la "saudades" que rien
efface, tout et passer en un souffle mon coeur a mal mais c'est des
cicatrices qu'il souffre, des blessures que l'émigration laisse à
chacun, héritage que j'ai laissé a mes enfants mon bien,mon bien je
dit qu'avant qu'ils aillent et ou qu'ils soient qu'ils se souviennent
de qui ils sont, de leurs papa ...