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Le cri du long train de nuit, t'arrachant de Paris
Sonne encore sous la pluie, sur ma vie.
Le cri du long train de nuit, t'arrachant de ma vie
Sonne encore sur Paris, sous la pluie.
А qui parles-tu? Que penses-tu?
De qui souris-tu? Comment sera ta vie?
De qui rкves-tu? Que pleures-tu?
Qui aimeras-tu? Penses-tu un peu а moi?
Les feux des voies virent au vert, tu transperces Dijon
Des traоnйes de lumiиre sur Chвlons.
Les feux des voies t'ont ouvert des grands chemins de fer
Tango vrai de mon chagrin de toi.
А qui parles-tu? Que penses-tu?
De qui souris-tu? Comment sera ta vie?
De qui rкves-tu? Que pleures-tu?
Qui aimeras-tu? Penses-tu un peu а moi?
Le fleuve te montre le Sud, Avignon, le Ventoux
Et tout le fond de nuit est plus doux.
Torchиres de l'йtang de Berre, calme son sommeil
Un feu se lиve а l'Orient de Marseille.
А qui parles-tu? Que penses-tu?
De qui souris-tu? Comment sera ta vie?
De qui rкves-tu? Que pleures-tu?
Qui aimeras-tu? Penses-tu un peu а moi?
Toute la nuit, j'ai suivi ton chemin, а six heures
А six heures, vient le petit matin.
Et tout au bout du matin, j'ai desserrй les poings.
А Toulon, tu descendais du train.
А qui parles-tu? Que penses-tu?
De qui souris-tu? Comment sera ta vie?
De qui rкves-tu? Que pleures-tu?
Qui aimeras-tu? Penses-tu un peu а moi?
Le cri du long train de nuit, t'arrachant de Paris
Sonne encore sous la pluie, sur ma vie.