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Un tout petit planteur
S'était laissé voler son cœur
Par une fille aussi charmante qu'une fée
Fleur de Brésil, fleur de samba, fleur de café
Il lui offrit un soir
Tout son café contre un espoir
La Brésilienne, ayant toujours le cœur qui bat
Pour le café, pour le Brésil, pour la samba
Café en parlant d'amour
Samba jusqu'au point du jour
Et c'est tout ! L'enfant, sinon
Répondait : Non, non, non !
Un jour qu'elle affirmait :
Je serai tienne à tout jamais
En souriant, elle ajouta :
Poisson d'avril !
Vivat samba ! Vivat café ! Vivat Brésil !
Vivat café ! Vivat Brésil !