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Les ailes brûlées l'Espoir a fui mon esprit
Cette faiblesse d'âme empeste le péché...
La robe blanche, mes idées noires entachent de suie innocente
cet autel d'une pureté diaphane
Le vent souffle
Le ciel gronde
Image titubande de la damnation
mon corps s'allonge sous cette nef écrasante
Il m'excommunie, laisse mes sens en persition...
La solitude m'étouffe, et mon voile ne me cache plus...
Peu importe ma peine, mon trépas sera doux...