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Seul sur son banc le regard fixe les cheveux blancs
Il ausculte le temps aux yeux des gens indifférents
Son visage recouvert décimé par la vie
Les couleurs manquèrent, on le teinta de gris
L'homme en question est un homme c'est certain
L'homme sans maison vit une vie de chien
De temps à autre décroche pourtant un sourire
Voyant s'articuler toutes ces poupées de cire
Une vision, un flash, un instant de bonheur
Se dissipent les tâches car son esprit est ailleurs
La révolution lui importe vraiment peu
Sachant que sa maison se trouve plus haut plus près des cieux
[Refrain] :
Une vie qui s'envole
Des moments qui se meurent
Une vie qui décolle
Pour un nouvel ailleurs
Seul sur son banc, le regard fixe, les cheveux blancs
Misérable mendiant, autour de toi les Jean Valjean
Chacun pour soi et Dieu pour tous
Garde pourtant la foi en subit les secousses
Un esprit solitaire qui ne se confie pas
Marié, célibataire, orphelin, ou papa ?
Comment justifier camoufler le fait qu'aujourd'hui
Un homme est condamné car prisonnier de sa vie
Une vision, une larme, un instant de rancoeur
Souvenirs pour seule arme bientôt le monde meilleur
La révolution lui importe vraiment peu
Sachant que sa maison se trouve plus haut, plus près des cieux
[Refrain] x2
Seul sur son banc, le regard fixe, les cheveux blancs
S'envolent lentement les 40 ans d'un ange errant
Personne n'est responsable, quelle triste comédie
Les auteurs de se drame se cherchent tous un alibi
Toi, moi, eux, tout le monde est coupable
Selon les règles du jeu qui sont les misérables ?
Une vision, une larme, un instant de douleur
Ton histoire est une fable dont je me fais narrateur
La révolution t'importait réellement peu
Sachant que ta maison se trouve aujourd'hui dans les cieux
[Refrain] x2
Une vie qui s'envole
Des moments qui se meurent
Une vie tombe au sol
Mon ami je te pleure