Влез Регистрация

Скрий

Забравена парола

Забравена парола? Въведи твоят e-mail адрес и ще ти изпратим link, с който да създадеш нова парола.

Назад

Затвори
BB Brunes

BB Brunes

Confusions Printanières

Адреса на видеото във Youtube, Vbox7 или Vimeo

Оригинален текст

Ne pourrait on pas écrire une lois contre les gens
Qui n'en peuvent plus de sourire contre le sens du vent
Ne pourrait-on pas vomir un peu plus décemment
Sur le cœur inaudible des adolescents
Je n'en peux plus de vivre notre anéantissement
Trop blasé des histoires qui ne sonnent jamais vraiment
Je m'en fout mais je me casse
Si tu pleures c'est marrant
Le bonheur sans histoire ça me paraît très chiant

On aimait s'étaler
Cracher contre le vent
Dépouilliés, dépouilliés furent toutes ses dents
Ton amour s'effondrait
Le vent ne m'en voudra pas
D'effacer, d'effacer ce qu'il reste de toi

Mais à force d'y croire
On finirait par vraiment
S'oublier, s'oublier un peu plus calmement
Bien trop comme livré
Mais dedans tes soupirs
Je bois trop, je m'abstiens
Mais ne veut pas partir
Ton sourire, ton sourire
Mais qui de nous deux prend ça ?
je te quitte pour un monde pour mieux pleurer sans ta voix
Je préfère m'isoler
Car au moins moi je pense
Notions de liberté illustrent nos condoléances

On aimait s'étaler
Cracher contre le temps
Cruauté, cruauté me chante calmement
Mon amour s'effondrait
Le vent ne m'en voudra pas
D'effacer, d'effacer ce qu'il ravive parfois

Je n'entends plus vraiment
Criez encore et encore
Mon cœur pleurnichant
Mais qu'est ce qu'on est mieux dehors
Je n'entends plus vraiment
Criez encore et encore
Mon cœur pleurnichant
Quelques ordures, quelques méandres
Quelques ordures, quelques méandres

Excusons-nous les guerres
Celles qui ne pardonnent pas
Esquissons-nous les fièvres de ma mégalomania

Ecorchons-nous les cœurs
Sans attendre le grand froid
Les remords, la douleur ne seront plus de nos lois

Mais toi, t'as l'air si fière
De crever au combat
Mais toi, t'as l'air si fière
Mais toi, t'as pas l'air comme ça

добави Превод

Зареди коментарите

Още текстове от BB Brunes